Tuesday, October 9, 2012

La Banque Mondiale appelée à revoir son aide au Rwanda



Par Agence Rwandaise d'Information
Saturday, 29 September 2012

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La Banque Mondiale apporte une aide de plus de 100 millions de dollars US chaque année d’appui budgétaire au Rwanda.

Dans un courrier adressé au vice-président pour l’Afrique de la Banque mondiale, Human Rights Watch (HRW) dit que le Rwanda a connu une croissance économique importante depuis le génocide de 1994, en partie grâce à l’assistance de la Banque Mondiale.

Cependant, ces acquis sont sapés par la répression politique, les violations systématiques des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion de la part du gouvernement rwandais, regrette HRW.

Plus graves encore, toujours selon cette ONG basée à New York, l’armée rwandaise continue à soutenir des groupes rebelles en RDC.

Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
La Banque Mondiale apporte une aide de plus de 100 millions de dollars US chaque année d’appui budgétaire au Rwanda.
Dans un courrier adressé au vice-président pour l’Afrique de la Banque mondiale, Human Rights Watch (HRW) dit que le Rwanda a connu une croissance économique importante depuis le génocide de 1994, en partie grâce à l’assistance de la Banque Mondiale.

Cependant, ces acquis sont sapés par la répression politique, les violations systématiques des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion de la part du gouvernement rwandais, regrette HRW.

Plus graves encore, toujours selon cette ONG basée à New York, l’armée rwandaise continue à soutenir des groupes rebelles en RDC.

Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Dans un courrier adressé au vice-président pour l’Afrique de la Banque mondiale, Human Rights Watch (HRW) dit que le Rwanda a connu une croissance économique importante depuis le génocide de 1994, en partie grâce à l’assistance de la Banque Mondiale.
Cependant, ces acquis sont sapés par la répression politique, les violations systématiques des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion de la part du gouvernement rwandais, regrette HRW.

Plus graves encore, toujours selon cette ONG basée à New York, l’armée rwandaise continue à soutenir des groupes rebelles en RDC.

Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Cependant, ces acquis sont sapés par la répression politique, les violations systématiques des droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion de la part du gouvernement rwandais, regrette HRW.
Plus graves encore, toujours selon cette ONG basée à New York, l’armée rwandaise continue à soutenir des groupes rebelles en RDC.

Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Plus graves encore, toujours selon cette ONG basée à New York, l’armée rwandaise continue à soutenir des groupes rebelles en RDC.
Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.

HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Cette ONG accuse également le Rwanda de soutenir Bosco Ntaganda, un ancien rebelle congolais intégré au sein des Forces armées de la RDC qui a fait défection, et est actuellement visé par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale.
HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.

Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
HRW demande donc à la Banque Mondiale de revoir tous ses programmes de financement destinés au Rwanda, afin de s’assurer que les fonds qui lui sont accordés ne contribuent pas aux atteintes aux droits humains.
Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.

La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, l'Allemagne, les Pays-Bas et la Suède ont d’ores et déjà suspendu leur aide au Rwanda au motif que ce pays soutient le M-23, un groupe armé actif à l’est de la RDC depuis le mois d’avril de cette année.
La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.

Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
La décision des cinq pays a immédiatement privé le Rwanda d'une aide budgétaire de 75 millions de dollars, alors que les dépenses de l'Etat sont assurées à 48 % par l’aide extérieure.
Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Le Rwanda a toujours nié toute implication dans la rébellion du M-23. A propos du déficit démocratique, le régime au pouvoir à Kigali a toujours dit que cette accusation est dénouée de tout fondement. (Fin)
Kigali: La Banque mondiale doit examiner en octobre un programme d'aide budgétaire au Rwanda dans un climat tendu. Les ONG lui demandent  de revoir tous ses programmes de financement.

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