Monday, October 10, 2022

Une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis

Analogie étrange entre deux reptiles: un lézard et un crotale

Par Bwana Asifiwe
HTPJ Contributor
Kolwezi, RDC

Samedi, 8 Octobre 2022

Bonjour Camarade!

Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique des Tutsis?
Merci d’avance.

1. Ne te hasarde jamais, au grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi, demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message clair et sans équivoque à savoir: le signal de ta faiblesse et donc, de ton incapacité de te battre avec lui .

2. Le Tutsi ne croit qu’en la loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.

3. Le Tutsi est totalement et définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la reconnaissance, la clémence , la gratitude  ou la compréhension .

4. Le Tutsi est doté d’une capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout le mal qu’on lui a causé.

Par contre, il est prompt à effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur psychologie.

5. Contrairement à nous autres Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.

6. Lorsque d’aventure, un Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille, et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la tête.

7. Le Tutsi nage avec une extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne en Kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une des vertus cardinales.

8. Le Tutsi tient en piètre estime la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la cause de son ethnie.

9. Le Tutsi est capable de faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le résultat escompté.

Tous ceux qui ignorent ou qui, pour leur plus grand malheur ont oublié ces  caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé de leurs vies. Veux-tu des exemples? Vraiment? En voici quatre, très très probants:

a. Le président  hutu burundais Melchior Ndadaye était en négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre 1993.

b. Le président hutu rwandais Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 Avril 1994 avec la milice armée extrémiste tutsie dénommée Front Patriotique Rwandais, le FPR, du général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 50 avec un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20 heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat contre son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien Ntaryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant du caducs au moment où deux parmi les signataires, tous deux des Hutus étaient liquidés dans le crash de leur appareil.

c. Les négociations qui se sont déroulées sous le prestigieux égide de Nelson Mandela sur l’Outenika, un navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la milice armée ethnique et extrémiste tutsie dénommée Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo-Zaïre (AFDL) n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avancée vers Kinshasa.

La capitale zaïroise fut investie et conquise le 17 Mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout dialogue.

d. Le président Laurent - Désiré Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés tutsis de l’Afdl.

e. Fatshi ne serait plus de ce monde s’il avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps, son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à l’Est du pays.

f. D’après mon comptage, plus de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au Rwanda, ayant accouché plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo.  Tout cela en pure perte car, après l’Est de notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont les territoires de Kwamouth, de Bagata, de Masi-Manimba, de Bulungu, c’est aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice M23? Vital Kamerhe est un vrai fumier!

La crise congolaise ne relève nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006, 2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une aggravation de l’insécurité, une recrudescence des massacres et une prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel (CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco Ntaganda et de Sultani Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)

La crise congolaise est d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de leurs agresseurs qui seraient des Rwandais! Du grand n’importe quoi! Un lézard et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination à plus ou moins long terme.

Nous autres Bantous congolais ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité, à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches, puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de Lemera, l’Afdl, une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos frontières.

Notre pays, avec au sein des FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré cinq effets majeurs et funestes:

a. la domination politique des Tutsis sur les Bantous.

b. l’assujettissement des Bantous congolais par les Tutsis.

c. Un génocide des Bantous congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les 12 million de morts.

d. le pillage éhonté et systématique de nos richesses minières , aggravé par l’évasion de nos recettes fiscales et douanières.

e. des velléités de balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la république démocratique du Congo.

Face à de tels périls, que peuvent les négociations, les dialogues et les élections? Rien!! Quand les Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis? Dans le cas contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à l’envahisseur tutsi! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et leurs existences ravagées pour l’éternité.

Pour terminer, une anecdote qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire son nom de l’empereur romain Titus Flavius Vespasien mort à Rome en l’an 81 après Jesus-Christ. Avant de devenir empereur, Titus Flavius s'est fait connaître en tant que commandant militaire, servant sous les ordres de son père en Judée pendant la première guerre judéo-romaine. Titus s’était en effet rendu sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit, elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le phénomène de la dispersion des Juifs à travers toute la planète, événement connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».

Pendant cette occupation, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par Titus. A la mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.

En mai 1948 naquit l’Etat d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues d’Israël. Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich d’Adolphe Hitler. Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent désormais « communauté hébraïque tutsie »! Ils ont ainsi réussi à duper même les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre, si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur a été attribués, comparés à ceux remportés par les autres groupes raciaux.  On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire, l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9 mois, de Septembre 1996 au 17 Mai 1997 et de s’emparer du pouvoir à Kinshasa.

Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.

Tien cordialement!

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