Analogie étrange entre deux reptiles: un lézard et un crotale |
Par Bwana Asifiwe
HTPJ Contributor
Kolwezi, RDC
Samedi, 8 Octobre 2022
Bonjour Camarade!
Me permettras-tu de te dispenser une petite leçon sur la psychologie ethnique
des Tutsis?
Merci d’avance.
1. Ne te hasarde jamais, au
grand jamais à solliciter un dialogue, autrement dit, une négociation avec un
Tutsi. Dans la culture, la tradition, l’expérience et la mentalité d’un Tutsi,
demander de négocier ou de dialoguer avec lui revient à lui envoyer un message
clair et sans équivoque à savoir: le signal de ta faiblesse et donc, de ton
incapacité de te battre avec lui .
2. Le Tutsi ne croit qu’en la
loi du plus fort et du plus rusé et uniquement en cette loi.
3. Le Tutsi est totalement et
définitivement dépourvu des sentiments tels que la pitié, la compassion, la
reconnaissance, la clémence , la gratitude
ou la compréhension .
4. Le Tutsi est doté d’une
capacité mémorielle stupéfiante. Il n’oublie jamais, au grand jamais, surtout
le mal qu’on lui a causé.
Par contre, il est prompt à
effacer de son esprit le bien qu’on lui a fait pour ne pas devoir ensuite
acquitter une dette de reconnaissance, preuve de faiblesse selon leur
psychologie.
5. Contrairement à nous autres
Bantous congolais, le Tutsi est pourvu non seulement d’une surprenante mémoire
collective, mais aussi d’une conscience communautaire à toute épreuve. Face à
cette qualité supérieure, nous autres Bantous congolais sommes battus à plate
couture, écrasés et tout juste bons à être jetés dans les poubelles de l’histoire.
6. Lorsque d’aventure, un
Tutsi accepte d’amorcer un dialogue ou une négociation avec un Muntu, cela
signifie tout simplement qu’il consent à le tuer à petits feux, en commençant
par un bras, puis l’autre, ensuite une jambe, puis l’autre, puis une oreille,
et ensuite l’autre jusqu’à ce que, de guerre lasse, il lui tranche enfin la
tête.
7. Le Tutsi nage avec une
extraordinaire facilité dans les eaux glauques et n’est pas du tout incommodé
par la puanteur qu’exhalent les mensonges. Du reste, le mensonge qui se désigne
en Kinyarwanda par le terme « ubwenge » tient lieu dans leur culture de l’une
des vertus cardinales.
8. Le Tutsi tient en piètre estime
la fidélité de sa femme et même la virginité de sa fille lorsqu’il s’agit
d’arracher une faveur, d’obtenir un avantage et surtout de faire triompher la
cause de son ethnie.
9. Le Tutsi est capable de
faire preuve d’une patience inouïe, quasiment angélique si, au bout d’un temps
qui peut se mesurer en décennies et même en siècles, il est assuré d’obtenir le
résultat escompté.
Tous ceux qui ignorent ou qui,
pour leur plus grand malheur ont oublié ces
caractéristiques de la psychologie du Tutsi en acceptant l’ouverture de
négociations et d’un dialogue avec les membres de cette communauté l’ont payé
de leurs vies. Veux-tu des exemples? Vraiment? En voici quatre, très très
probants:
a. Le président hutu burundais Melchior Ndadaye était en
négociations avec les factions militaires tutsies burundaises lorsqu’il fut
assassiné et sauvagement mutilé dans le camp miliaire de Bujumbura en octobre
1993.
b. Le président hutu rwandais
Juvénal Habyarimana venait de signer les accords d’Arusha le 6 Avril 1994 avec
la milice armée extrémiste tutsie dénommée Front Patriotique Rwandais, le FPR, du
général tutsi sanguinaire Paul Kagame, croyant ainsi naïvement en avoir fini
avec les assassinats et les meurtres lorsque son Jet privé, un Falcon 50 avec
un équipage français fut abattu dans la même soirée du 6 avril 1994, vers 20
heures 15, au-dessus de Kigali. Juvénal Habyarimana périt dans l’attentat contre
son avion avec le chef d’Etat-major général des Forces armées rwandaises, les
FAR, en la personne du général Nsabimana, lui aussi un Hutu. Dans le même
aéronef trouva également la mort un autre président hutu, le Burundais Cyprien
Ntaryamira. Les Tutsis réussirent ainsi un exploit unique et sans précédent
dans l’histoire de l’humanité en assassinant deux Chefs d’Etat dans un même
attentat. D’une pierre deux coups. L’encre des accords d’Arusha n’avait pas
encore eu le temps de sécher que les dits accords étaient déjà violés, devenant
du caducs au moment où deux parmi les signataires, tous deux des Hutus étaient
liquidés dans le crash de leur appareil.
c. Les négociations qui se
sont déroulées sous le prestigieux égide de Nelson Mandela sur l’Outenika, un
navire de guerre sud-africain ancré au large de Pointe-Noire au
Congo-Brazzaville entre feu le maréchal Mobutu et la milice armée ethnique et
extrémiste tutsie dénommée Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération
du Congo-Zaïre (AFDL) n’ont jamais pu aboutir parce que pendant que les
négociations se tenaient , l’Afdl poursuivait son inexorable avancée vers
Kinshasa.
La capitale zaïroise fut
investie et conquise le 17 Mai 1997, rendant du coup vaine et sans objet tout
dialogue.
d. Le président Laurent - Désiré
Kabila fut lui aussi assassiné en pleines négociations avec ses anciens alliés
tutsis de l’Afdl.
e. Fatshi ne serait plus de ce
monde s’il avait pris place à bord du même appareil que ses gardes du corps,
son chauffeur et sa voiture blindée lors du retour de son premier voyage à
l’Est du pays.
f. D’après mon comptage, plus
de 54 conférences, dialogues, conclaves, sommets, rencontres ont été organisés
depuis 26 ans entre les Bantous congolais et le régime des Tutsis au pouvoir au
Rwanda, ayant accouché plus de 70 résolutions pour ramener la paix au Congo. Tout cela en pure perte car, après l’Est de
notre pays, c’est maintenant l’ouest, c’est la province de Bandundu, ce sont
les territoires de Kwamouth, de Bagata, de Masi-Manimba, de Bulungu, c’est
aussi le Bas-Congo qui sont désormais mis à feu et à sang. Mais c’est juste en
ce moment que cette ordure de Vital Kamerhe ose préconiser l’ouverture d’un dialogue avec les Tutsis à travers leur milice M23? Vital Kamerhe est un vrai
fumier!
La crise congolaise ne relève
nullement de nature politique parce que trois élections présidentielles (2006,
2011,2018) n’ont pas réussi à y mettre un terme. On a même remarqué une
aggravation de l’insécurité, une recrudescence des massacres et une
prolifération de milices tutsies au surlendemain de chaque scrutin présidentiel
(CNDP du Tutsi Laurent Nkundabatware, M23 de Jean-Bosco Ntaganda et de Sultani
Makenga, CODECO, RED TABARA, ADD/NALU, etc.)
La crise congolaise est
d’essence ethnique parce qu’elle oppose les Tutsis du Rwanda aux Bantous du
Congo. Après plus de 26 ans de massacres, de viols et d’abominations, les
Bantous congolais n’ont pas encore réussi à qualifier de façon pertinente
l’immense tragédie qui ensanglante leur nation. Ils continuent de parler de
leurs agresseurs qui seraient des Rwandais! Du grand n’importe quoi! Un lézard
et un crotale sont, certes, tous deux des reptiles. Mais le premier est
inoffensif tandis que le second possède un venin mortel. En cas de morsure, un
individu qui dirait qu’il a été mordu par un « reptile » se condamne lui-même à
la mort. Les Hutus et les Tutsis sont des Rwandais. Les premiers cités ne sont
pas nos ennemis. Les seconds sont nos bourreaux qu’il convient de désigner
exclusivement par leur appartenance ethnique et non pas par leur identité
nationale. Tant que les Bantous du Congo, nos compatriotes, n’auront pas
compris cette subtilité sémantique élémentaire, ils sont promis à une extermination
à plus ou moins long terme.
Nous autres Bantous congolais
ne pouvons pas user de la moindre complaisance ni faire preuve de compassion
envers les Tutsis qui ont bénéficié pendant des décennies de notre hospitalité,
à qui nous avons offert le gîte et le couvert, que nous avons rendus riches,
puissants et opulents au point que certains d’entre eux ont même occupé de
hautes fonctions dans nos instituions politiques. Mais ce n’est pas tout. Nous
avons aussi ouvert les portes de nos établissements scolaires et les
amphithéâtres de nos universités aux enfants de ces Tutsis accueillis, à bras
ouverts, en réfugiés chez nous pendant des décennies. Mais voilà que, depuis
septembre 1996, déclenchant une invasion militaire à partir de la bourgade de
Lemera, l’Afdl, une milice armée ethnique tutsie financée et équipée par cette
race de cafards s’est brusquement retournée contre nous, leurs bienfaiteurs
bantous et nous font désormais paître avec un sceptre d’airain. A l’insu de nos
dirigeants, la république démocratique du Congo est désormais complètement
cernée de toutes parts, du côté de la Centrafrique comme de celui de
Brazzaville, aussi bien sur ses frontières avec l’Ouganda, avec la Zambie et la
Tanzanie que du côté du Soudan. Désormais, le péril, omniprésent, campe à nos
frontières.
Notre pays, avec au sein des
FARDC plus de 2.500 officiers tutsis (selon des chiffres datant de cinq ans), vit
donc sous un régime d’occupation militaire, cause principale ayant engendré
cinq effets majeurs et funestes:
a. la domination politique des
Tutsis sur les Bantous.
b. l’assujettissement des
Bantous congolais par les Tutsis.
c. Un génocide des Bantous
congolais dont le bilan de pertes en vies humaines dépasse déjà aujourd’hui les
12 million de morts.
d. le pillage éhonté et
systématique de nos richesses minières , aggravé par l’évasion de nos recettes
fiscales et douanières.
e. des velléités de
balkanisation du Congo en vue de la création d’un tutsi land ou foyer national
tutsi au détriment de l’intégrité nationale et de l’unité politique de la
république démocratique du Congo.
Face à de tels périls, que
peuvent les négociations, les dialogues et les élections? Rien!! Quand les
Bantous congolais comprendront-ils enfin qu’ils ne pourront espérer survivre
dans les années et les décennies à venir qu’en versant des hectolitres de
larmes et de sang dans une lutte sans merci contre les Tutsis? Dans le cas
contraire, ils n’ont qu’à se rappeler le sort réservé à la Yougoslavie dont le
nom a disparu du lexique politique. Il est temps que les Bantous prennent le
sentier de la guerre et qu’ensemble, les armes au point, ils crient « Sus à
l’envahisseur tutsi! » en les traquant et en les débusquant sur l’ensemble du
territoire national congolais. Les Tutsis qui résisteront ou qui refuseront de
battre en retraite vers le Rwanda paieront de leurs vies leur témérité, leur
ingratitude, leur trahison et leur félonie. Dans le cas contraire, les Bantous
congolais n’auront bientôt plus que leurs yeux pour pleurer leur pays perdu et
leurs existences ravagées pour l’éternité.
Pour terminer, une anecdote
qui te donnera peut-être une vague idée du cynisme, de la capacité de mensonge
et de l’impudence des Tutsis. Cette communauté ethnique negro-africaine tire
son nom de l’empereur romain Titus Flavius Vespasien mort à Rome en l’an 81
après Jesus-Christ. Avant de devenir empereur, Titus Flavius s'est fait
connaître en tant que commandant militaire, servant sous les ordres de son père
en Judée pendant la première guerre judéo-romaine. Titus s’était en effet rendu
sur les hauts plateaux d’Abyssinie (situés dans l’actuelle Éthiopie) pour
recruter des mercenaires noirs africains en vue de les enrôler dans les légions
romaines. Puis, il marcha sur la Palestine en l’an 79 après Jésus-Christ pour
entreprendre le siège de Jérusalem. Lorsque la ville sainte des Juifs se rendit,
elle fut mise à sac, sa population massacrée, ses temples, dont celui de
Salomon incendiés avec de surcroît, la profanation de leurs sanctuaires où les
saints des saints. Naturellement, les mercenaires abyssiniens prirent une part
active dans le pillage de Jérusalem dont la principale conséquence fut le
phénomène de la dispersion des Juifs à travers toute la planète, événement
connu désormais sous l’appellation de « diaspora ».
Pendant cette occupation, les Juifs ayant perdu et fui la Palestine furent persécutés à cause notamment des mercenaires noirs enrôlés dans les légions de romaines par Titus. A la mort de ce dernier, les soldats africains furent démobilisés. Ils s’en retournèrent en Abyssinie. En mémoire de leur empereur, des exploits militaires qu’ils avaient accomplis sous ses ordres, ils adoptèrent son nom Titus dont, au fil des siècles, les deux voyelles furent inversées pour donner lieu au vocable Tuti ou Tutsi. Jusque là, rien de bien méchant. Mais attends. Attends la suite.
En mai 1948 naquit l’Etat
d’Israël, permettant ainsi aux Juifs disséminés à travers le monde et en
errance depuis deux mille ans de retrouver enfin leur patrie. Très bien. Mais
en septembre 1999, les Tutsis firent croire aux Juifs qu’ils partageaient les
mêmes ascendants, qu’eux aussi faisaient parties de l’une des 12 tribus perdues
d’Israël. Les dirigeants juifs gobèrent ce colossal « ubwenge ». Tant et si
bien que cette même année 1999, dans un des hôtels Mercure situé dans la banlieue
de Bruxelles, une alliance connue sous le nom de « Pacte de Havila » fut
scellée entre les Juifs et leurs anciens bourreaux les Tutsis, ceux à cause
desquels ils ont connu deux mille ans d’errance, de pogromes et de persécutions
à travers la planète avec, comme clef de voûte de tous les malheurs qui se sont
abattus sur eux, la Shoah ou l’holocauste des Juifs sous le IIIe Reich
d’Adolphe Hitler. Pour couronner le tout, depuis 1999, les Tutsis s’appellent
désormais « communauté hébraïque tutsie »! Ils ont ainsi réussi à duper même
les Juifs qui passent pourtant pour la race la plus intelligente de la terre,
si on compte le nombre de Prix Nobel qui leur a été attribués, comparés à ceux
remportés par les autres groupes raciaux.
On comprend maintenant d’où sont venus le soutien militaire,
l’assistance diplomatique, l’aide logistique, l’appui financier et la
complaisance médiatique qui permirent aux Tutsis de conquérir notre pays en 9
mois, de Septembre 1996 au 17 Mai 1997 et de s’emparer du pouvoir à Kinshasa.
Je ne verrais aucun inconvénient si tu pouvais assurer une large diffusion à ce message dont tu voudras bien, au passage, excuser la longueur excessive. Mais je crois qu’il en valait peut-être la peine.
Tien cordialement!
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