Le Conseil de sécurité de l'Onu veut imposer des sanctions aux dirigeants du mouvement rebelle congolais du M23 et à ceux qui violent l'embargo sur les armes décrété par l'Onu, selon une déclaration qui a été adoptée vendredi.
"Le Conseil de sécurité exprime son intention d'appliquer des sanctions ciblées contre la direction du M23 et ceux qui agissent en violation du régime de sanctions et de l'embargo sur les armes", précise le conseil de sécurité dans ce texte.
Selon un rapport du groupe d'experts du Conseil de sécurité des Nations unies, le Rwanda et l'Ouganda continuent, en dépit de leur démenti, à soutenir les rebelles du M23 qui affrontent depuis six mois contre les troupes du gouvernement de la
République démocratique du Congo (RDC) dans l'est du pays.
Les experts mettent particulièrement en cause le ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, présenté comme coiffant de facto la chaîne de commandement du M23.
Le M23 est constitué de centaines de déserteurs de l'armée congolaise rassemblés derrière Bosco Ntaganda, général mutin recherché par les autorités de la RDC et par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre. Les combats ont contraint quelque 320.000 civils à fuir.
(REUTERS)
"Le Conseil de sécurité exprime son intention d'appliquer des sanctions ciblées contre la direction du M23 et ceux qui agissent en violation du régime de sanctions et de l'embargo sur les armes", précise le conseil de sécurité dans ce texte.
Selon un rapport du groupe d'experts du Conseil de sécurité des Nations unies, le Rwanda et l'Ouganda continuent, en dépit de leur démenti, à soutenir les rebelles du M23 qui affrontent depuis six mois contre les troupes du gouvernement de la
République démocratique du Congo (RDC) dans l'est du pays.
Les experts mettent particulièrement en cause le ministre rwandais de la Défense, le général James Kabarebe, présenté comme coiffant de facto la chaîne de commandement du M23.
Le M23 est constitué de centaines de déserteurs de l'armée congolaise rassemblés derrière Bosco Ntaganda, général mutin recherché par les autorités de la RDC et par la Cour pénale internationale (CPI) pour crimes de guerre. Les combats ont contraint quelque 320.000 civils à fuir.
(REUTERS)
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